Sur scène, un être témoigne de son rapport complexe avec la terre :
de la terre maternelle à la terre promise. Seul dans cet espace, avec
une terre qui s’insinue partout, que découvre-t-il de son corps et de
ses propres émotions ? Au prise avec cette invasion, il se débat et
lutte en réinventant, jusqu’à la folie, les gestes du quotidien.« L’exil ne me semble pas être seulement l’état des immigrés ou
des réfugiés. Si, comme je le crois, le corps de l’exil est en
déséquilibre, alors tous les corps nous montrent que nous sommes exilés. » Vahram Zaryan
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